Après cette vie mise en pause, j’ai éprouvé un vif désir de redécouvrir sous un oeil nouveau la nature pour mieux la regarder, l’écouter et la sentir. Je ne sais pas pour vous mais suite au « déconfinement », je suis retourné essentiellement dans la nature loin de la cohue de la ville. J’y ai vu une complexité où on décèle la richesse de la flore et de la faune. Tout semble y vivre en harmonie même si la réalité est plus subtile. Je me suis attardé à regarder la luxuriance et la diversité des plantes, des arbres mais aussi celle des bruits et des senteurs. Mon attention n’avais pas prêté, sinon peu, attention à ces choses aussi intensément qu’aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est une prise de conscience que la vie peut tenir qu’à un fil mais ces sorties ont éveillé en moi des sens que j’utilisais avec parcimonie. Bizarrement ils ont pris une autre dimension. Il me semble qu’ils sont un peu plus aiguisés mais en tout cas un

Nature quand tu me tiens est un post est un peu à part. Je ne vais pas vous faire découvrir un lieu mais plus simplement la Nature où j’aime aller flâner, respirer, réfléchir, en un mot : me ressourcer. Et en ce moment, il faut avoir des photos souvenirs pour pouvoir tenir ! Et vous quand est-il ?Avez-vous un espace qui vous permet de vous évader ? Si oui quel est-il ? Je vous propose de partager votre expérience, votre soupape. Que ressentez-vous à ce moment là ? Liens :Etang des vallées Forêt de Rambouillet

Aujourd’hui c’est la journée du patrimoine. Et pourquoi ne pas faire une visite dans le patrimoine dans la nature 😉 . Donc, nous voilà partis dans la vallée de Chevreuse près de l’église Levis Saint Nom. La forêt n’a pas encore pris ses couleurs d’automne; ce sera l’occasion d’y revenir. Après avoir apprécié la nature et la diversité de ses formes et couleurs, nous revenons à la petite église située en plein milieu de la pampa. Mignonnette, elle est difficile d’accès et seule une journée comme celle du patrimoine permet d’en découvrir l’intérieure ou encore lors de concerts. Elle abrite un magnifique orgue. Nous avons pu en écouter la sonorité comme en admirer sa construction toute en couleurs. Vous découvrirez ci-dessous un florilège de photos. Ce n’est pas une série en soi mais sa diversité m’a plu. A vos critiques, amis blogueurs 😉 . NB : la photo présentant un rail (en B&W), montre l’existence d’une activité importante d’extraction des pavés de grès. Les carriers ont sorti et taillé ces

Hello chers blogueurs, une demande m’a été faite pour afficher quelques photos de ma sortie industriel mais en couleurs cette fois. Le choix a été assez difficile ! Je vous ai donc extrait un petit florilège de mes photos. Pas toutes, on se lasserait rapidement et pas toutes parfaites non plus, loin de là. En attendant, ça donnera un aperçu de quelques éléments d’une centrale hydraulique en plein dans le parc régional du Morvan. La journée en ce mois de juin était plutôt agréable. Le club photo avait organisé cette sortie avec un photographe amateur ayant travaillé chez EDF; ça aide. Il nous a fait découvrir l’arrière boutique d’un système qui produit de l’électricité sans pollution et sans trop abîmer l’environnement. Après avoir descendu au bas du barrage, nous découvrons le local où plusieurs turbines oeuvrent pour alimenter les villages voisins. A l’intérieur le bruit est assez étourdissant. Nous nous attablons à mitrailler tout ce que nous pouvons. Evidemment sur les memes objets, nous ne les percevons pas de la

Effectivement, compte tenu de la période, il vaut mieux rester zen ! Et le jardin de Maulévrier s’y prête assez bien. Mais avant d’aborder la visite proprement dite qui sera principalement en images, remontons un peu dans le temps. La famille Colbert de Maulévrier fait construire une demeure sur les ruines d’un château féodal au XVIIe siècle. La famille Bergère rachète au XIXe, la propriété et en 1895, ils font appel à Alexandre Marcel pour restaurer le château et ses abords. Alexandre s’entiche d’une des filles Bergère avec qui il se marie; on reste ainsi en famille. 🙂 Alexandre Marcel, lauréat du prix d’architecture, réalise une œuvre dans le cadre de l’exposition universelle de 1900 à Paris. Attiré par l’Extrême-Orient, il aménage un jardin mais tout n’est pas encore arrangé à la japonaise. Il faudra attendre les années 80 pour qu’une association de bénévoles redécouvre les éléments mis en place par le Sieur Alexandre. Le parc ouvre ses portes en 1985 et devient jardin japonais par des professeurs de Kyoto et de