Vous aimez l’air marin et vous n’avez pas le mal de mer. Vous aimez la nature quasiment vierge alors c’est la lande de l’île de Houat qu’il faut aller fouler. Ici le seul moyen d’accès à ce bout de terre est le bateau depuis la presqu’île de Quiberon.Cette petite île de 4 km de long sur 1,5 de large est une lande. La végétation qui y pousse, est confrontée aux éléments : vent et embruns. Le bourg se trouve d’un côté de l’île, le continent en face. Le blanc des murs et les volets colorés donnent un charme qui rappelle l’île de Ré. En son sein, l’église Saint Gildas est richement décorée et possède des exvotos.Sinon, la balade autour de l’île est à faire et c’est la principale activité. Aucune difficulté technique si ce n’est se munir d’un chapeau, d’un peu d’eau, de son appareil photo (la moindre des choses) et de ses jumelles. A la belle saison, des plaisanciers viennent y passer la journée en accostant sur les plages

Près de Montmorillon et/ou Angles sur l’Anglin, il était possible de se faire deux visites intéressantes. La vallée des singes et la planète crocodiles seront nos deux destinations loisirs de ces vacances.L’une vous mènera voir nos confrères que sont les primates. La seconde, même si nous les apprécions moins, vous permettra de découvrir les reptiles et plus particulièrement les crocodiles .Même si je ne suis pas fan des zoo, je reconnais que là ils ne seront pas chassés pour un commerce douteux ! La vallée des singes Le parc zoologique se situe en région Poitou-Charentes, se trouve plus précisément à Romagne près de Poitiers. Sa particularité est d’abriter et de protéger les primates avec une approche respectueuse de leur bien-être. Le parc abrite quasiment cinq cents primates de trente espèces différentes. Parmi les plus remarquables, on trouve bien évidemment les gorilles les plus intéressants selon moi mais aussi des orangs-outans, etc. Ils peuvent évoluer dans un environnement quasi naturel Ce parc met un accent particulier sur la conservation des espèces

Cette année, les vacances sont, disons, particulières ! Réduites, nous les passons à la maison. Aussi, je rebalaye mes photos et je tombe sur ces quelques clichés datant d’août 2015 sur Angles sur l’Anglin. Récapitulatif historique Sur les rives de l’Anglin, petite rivière sous-affluente de la Vienne, se trouve un village fortifié au doux nom d’Angles sur l’Anglin. On ne semble pas très bien connaître les origines de ce village. Il faudrait chercher du côté d’un peuple germanique dénommé les Angles. Ceci dit, à l’époque Angles ne portait pas ce nom. Par contre on trouve des traces humaines qui remontent à l’ère Magdalénienne. Les premières découvertes de la présence de l’Homme datent du début XXe. C’est dans l’abri Bourdois que l’on découvre une frise sculptée . Elle fait de ce village un des hauts lieux de la préhistoire au même titre que Lascaux.Pour revenir un peu plus près de nous, probablement construite au XIe, la forteresse, initialement défensive, évoluera vers une demeure plus renaissance suite aux actions de Hugues de

Entre Saint-Cirq Lapopie-Bouziès, les hommes ont creusé dans la roche ce chemin de halage. La finalité était de tirer les gabares chargées de victuailles ou de matériaux de toutes sortes. Ainsi vous découvrirez ce lieu et comprendrez la tâche pas toujours facile des hommes de l’époque surtout lorsqu’il fallait remonter le fleuve…Vous y verrez une sculpture de Daniel MONNIER, un bas relief original qui représente la rivière dans tous ses états.

Cette année, les Promenades Photographiques de Vendôme avaient comme thème « L’éloge de la lenteur ». Sous un soleil assez généreux, nous sommes donc allés voir cette exposition. Nettement moins grande que celle d’Arles, elle n’en demeure pas moins intéressante et surtout elle est proche de Paris. Pour cette édition, l’éloge de la lenteur était mise en exergue mais de quelle lenteur parle-t-on ? Je reconnais être difficilement rentré dans le thème. J’avais quelques difficultés à faire le parallèle entre le sujet et les photographes exposés. En creusant, il fallait le voir sous l’angle, me semble-t-il, où il faut prendre son temps pour construire un sujet, une série, sur quel médium avec quel développement. Le travail demande tout de même de la réflexion. Ceci en opposition aux photos publiées sur les réseaux sociaux qui elles capturent l’instant sans véritablement traitement ni recherche d’un thème structuré. Cependant, je voulais m’arrêter sur un photographe qui m’a particulièrement marqué et qui est peut-être assez peu connu : Lucien Legras. C’est un photographe pro mort trop