Au bord du Tage, et plus particulièrement là où il se jette dans l’océan Atlantique, Lisbonne s’est implantée comme pour se préparer à partir en voyage vers des horizons lointains. Les noms de Bairro-Alto, Chiado, Baixa, Alfama ou encore Belém résonnent pour annoncer des promenades qui vous donnent des envies d’évasion. Arrivée le lundi en fin d’après-midi à l’aéroport, nous regagnons notre hôtel pour une bonne nuit avant les promenades des jours à venir. En effet, un minimum de 16 km de marche par jour pour découvrir la capitale portugaise va être notre épreuve quotidienne ! 😉 Les quatre zones de couleurs présentent les différents quartiers essentiels à ne pas manquer. Si le Baixa est de construction XVIIIème, il est très recherché par les grandes enseignes commerciales. C’en est bien différent pour l’Alfama, le Chiado et le Bairro Alto. Ils sont les plus typiques. Il est indispensables de découvrir avec une nette préférence pour l’Alfama, de mon point de vue. Pour vraiment apprécier Lisbonne dans son âme, je conseille donc

Une rose impossible dans la nuit est un titre qui interroge mais que cache-t-il ? Je vous propose de découvrir, ou pas suivant vos promenades, ce petit village devenu célèbre malgré lui. C’est quasiment en plein milieu du parc national des Causses Quercy qu’il se trouve. Médiéval à souhait, il a gardé un peu son âme d’antan sauf peut-être en été. Il était déjà célèbre au XXe siècle. Mais l’émission « Les plus beaux villages de France » a fini d’enfoncer le clou si ce n’est le pieu. Le village se trouve à environ une bonne trentaine de kilomètres de Cahors à l’est et même latitude. Vous pourrez découvrir Saint-Cirq-Lapopie appelé par André Breton : une rose impossible dans la nuit. CQFD. Déjà en soi son nom est très agréable ! Mais il n’y a pas que son nom car il y a aussi l’écrin de verdure dans lequel il se trouve. Ici, le chêne est partout autour de lui et il a eu la bonne idée de se faire construire sur

La cour Danoye est une petite ruelle pavée. Elle se trouve coincée entre la rue Daval et la place de la Bastille. Je dis insolite Bastille car si les boulevards sont très chargés. Il suffit de s’éloigner de quelques mètres pour tomber sur des petites rues pittoresques. Elle mesure une centaine de mètres. Lorsque vous pénétrez dans cette espace par la place de la Bastille, vous avez l’impression de passer par une porte intemporelle. Elle vous amène du brouhaha au silence. Ici, il n’y a plus d’ébéniste, de ferrailleur ou encore de menuisier. Vous y trouvez des artistes, une brûlerie à café ou encore un créateur de sacs à main. La vigne vierge grimpe sur les murs et donne le tempo du lieu. Vous vous retrouvez dans un petit village en plein cœur de ParisRemontons le temps un instantLe dénommé Antoine Pierre Danoye acquière en 1778 le terrain. Il y fait construire des petits immeubles qu’il loue aux artisans. Cette population ouvrière vient pour la plupart d’Auvergne; autant dire qu’un

Métro Corvisart, vous sortez sur la droite en direction de Nation. et en face, passez sous le porche. Après une petite montée, vous retrouverez sur la butte aux cailles. Et là commence un petit havre de paix !Un escalier débouche sur un parc verdoyant, au moins en été 😉 . Ensuite une balade bucolique vous attend dans un endroit de Paris où le calme semble être le maître mot. Vous déambulez dans les rues paisibles au premier abord mais qui s’animent rapidement le soir venu. Ceci vous permet de découvrir les fresques bariolées et colorées qui décorent les murs. Le street art est ici de mise.Un peu plus loin en circulant dans les différentes ruelles, vous tomberez surement sur la place Verlaine et son puits artésien où une eau claire jaillit encore. De nombreux habitants y viennent encore se ravitailler. Plus loin, vous découvrirez la villa Daviel et « La petite Alsace » et en remontant vous tomberez sur la petite place de la Commune, point culminant de la butte. Vous serez

Le week-end du 26 mai 2018, nous profitons d’une sortie organisée par le club photo pour redécouvrir cette région qu’est le Morvan. Ce « Retour à Vézelay » nous permet de le voir sous un autre angle. Effectivement une région assez peu connue car pas forcément de gros spots hormis peut-être le Chablis. Mais bon, il est possible d’apprécier le breuvage sans forcément venir dans la région. Ceci étant, nous avons redécouvert le village de Vézelay, tout en longueur, avec la cathédrale Marie-Madeleine comme ultime édifice. Même si la préhistoire atteste la présence de l’homme, ce n’est qu’aux environs de 790 après JC, que sont découvertes les traces d’un monastère. Il faudra attendre le XIIe siècle pour que Vézelay soit vraiment reconnu. Mais comme partout, le je t’aime moi non plus, entre le Duc de Nevers, le Roi de France et la Guerre de 100 ans ont accéléré le déclin de la ville. Il faudra attendre 1840 que Mérimée demande que des travaux soient réalisés afin de réhabiliter le village et surtout